Ce matin nous nous sommes réveillés de bonne heure à 7h00 et avons repris le chemin au milieu d'une végétation trempée de l'humidité nocturne. Les complications ont commencé avec la difficulté à faire traverser par Marius le ruisseau situé en contrebas du pré où nous avions passé la nuit. Il a sauté et failli se faire mal en retombant les quatre sabots dans les cailloux. Heureusement il y eut plus de peur que de mal.
Nous avions estimé la veille être à 2/3 kilomètres du col de la Chaudière. En réalité, la carte IGN (pourtant la dernière mise à jour) ne mentionnait pas les nombreux lacets du parcours. Et c'est seulement en fin de matinée que nous sommes parvenus à destination épuisés. Heureusement nous fûmes tout de même réconfortés en chemin par la beauté des paysages que nous découvrions tous aussi magnifiques que les précédents à chaque vallée ou flanc de montagnes franchis.
Nous sommes redescendus assez difficilement sur St Benoit, par des lacets encore non répertoriés, et avons traversé la forêt de Laup. Nous étions au village à 18h00. Après s'être baigné, avoir mangé et rempli nos gourdes chez une famille avec qui nous avons discuté, nous avons du repartir, à l'inverse de ce que nous avions prévu, pour rattraper notre retard et profiter d'un temps nuageux moins éprouvant. Malgré cela, nous étions fatigués, Joëlle tombant de sommeil nous nous sommes arrêtés près de la rivière pour dormir.
La journée s'est quand même terminée sur une bonne note avec la visite en fin de soirée de David, vigneron de son état, qui n'est pas venu seul mais accompagné de pâtés, saucissons et vin blanc. Une très bonne idée qui nous a mis du baume au cœur.
2 commentaires:
Rien à dire, c'est quand même mieux organisé avec une femme dans l'équipage !
Bon sinon pour les pizzas c'est quand tu veux tu passes un coup de file et j'arrive bon sauf ce week-end c'est vacances !!!
Bon courage à vous 4 !
bisous
pauve Bouille décidément il n'a pas de chance avec les rivières. Vous vous lever tôt d'où autant d'humidité le matin. Continuer ainsi... Comme dab'tu y arriveras. Bisous
Enregistrer un commentaire